Le Parcours immersif Dina-Bélanger

Plongez dans l’univers unique de cette jeune artiste et découvrez son message d’espoir pour le monde d’aujourd’hui.

Sur la route qui mène au Vieux-Québec, faites une escale à l’église Saint-Charles-Garnier de Québec afin de découvrir la vie et le message de la bienheureuse Dina Bélanger que l’on surnomme aussi affectueusement « La Thérèse de l’Enfant-Jésus du Canada ».1 Apprenez-en plus sur l’histoire de cette musicienne, religieuse, écrivaine et mystique, décédée en 1929 à l’âge de 32 ans des suites de la tuberculose et qui fut béatifiée par le pape Jean-Paul II en 1993, devenant ainsi « la première « sainte » née à Québec, berceau de la civilisation chrétienne et française en Amérique ».2

Découvrez ses compositions musicales ainsi que les écrits qu’elle nous a laissés et qui constituent l’ « un des plus purs joyaux de la littérature spirituelle du XXe siècle ».3

Cette exposition unique en son genre propose une expérience visuelle, auditive et sensorielle qui permet aux visiteurs de découvrir la vie de Dina Bélanger tout en explorant une période significative de l’histoire du Québec.

Le parcours immersif Dina-Bélanger offre également de mieux comprendre la condition féminine au début du XXe siècle, les défis rencontrés par celles qui choisissaient de vivre de leur art, ainsi que le rôle déterminant des congrégations féminines dans l’éducation des filles et la construction du Québec moderne.

Des narrations enregistrées, accompagnées d’ambiances sonores et de compositions musicales de Dina Bélanger, guident les visiteurs tout au long du parcours, recréant l’environnement historique et spirituel qui a marqué la vie de cette femme que l’on appelle aussi « la petite mendiante d’amour ».

1. Léon Cristiani, doyen de la Faculté des Lettres à l’Université Catholique de Lyon, Perdue en Jésus-Christ, 1950, p.XV.
2. Ghislaine Boucher, Ph.D., Dictionnaire biographique du Canada, Volume XV (1921-1930).
3. François-Marie Léthel, carme professeur de théologie au Teresianum à Rome, présentation de la nouvelle autobiographie de Dina Bélanger, 1995, p. 17.

À voir aussi sur place

  • Reliquaire de la bienheureuse Dina Bélanger.
  • L’église Saint-Charles Garnier.
  • Les boiseries du sculpteur Jean-Julien Bourgeault.
  • Les vitraux de André Rault et de Marius Plamondon.
  • Les émaux sur cuivre de Jean-Jacques Spénard.
  • Les mosaïques de Walter Del Mistro.

 


À proximité

Parc du Bois-de-Coulonge
Rue commerciale Maguire
Restaurants
Centres commerciaux
Hôtels
Exposition Parolicône en l’église Saint-Michel de Sillery
 


Bon à savoir

  • Kiosque d’objets piété
  • Grand stationnement
  • Chapelle
  • Salles de bain
  • Grande salle pour les repas de groupe
  • Autres services sont disponibles sur demande.

 


Coordonnées

1215 Av. du Chanoine-Morel, Québec, QC G1S 4B1

Horaires d’ouverture (sujet à changement sans préavis):

  • Les jeudis et vendredis de 13 h à 16h
  • Autres possibilités pour les groupes sur demande.

dinabelanger.com
418 697-9260

Groupes et voyagistes

 


Tombeau de Dina Bélanger

Possibilité de visiter le tombeau de la bienheureuse Dina Bélanger sur demande à la résidence des Religieuses de Jésus-Marie aussi située dans l’arrondissement Sillery.

Qui est Dina Bélanger ?

Née en 1897 à Québec, Dina témoigne dès son jeune âge d’un talent exceptionnel pour la musique. De 1916 à 1918, elle se rend en pleine Première Guerre Mondiale pour étudier la composition et l’harmonie à l’Institute of Musical Art, qui deviendra par la suite le célèbre Juilliard School. Durant son séjour dans la Grosse pomme, Dina réside à la résidence Our Lady of Peace tenue par les Religieuses de Jésus-Marie, sa future congrégation.

De retour à Québec, elle organise des concerts bénéfices pour venir en aide aux familles des victimes de la guerre et s’engage dans plusieurs œuvres caritatives. En 1921, elle entre chez les Religieuses de Jésus-Marie, enseigne la musique et rédige sa vie à la demande de sa supérieure. Ses écrits dévoilent une vie intérieure hors du commun qui ne sont pas sans rappeler ceux écrits par Thérèse de Lisieux, Thérèse d’Avila et Jean de la Croix. Dina décède de la tuberculose en 1929, à l’âge de 32 ans, laissant une autobiographie d’une profondeur inouïe.

Peu après sa mort, ses écrits sont publiés par les Religieuses de Jésus-Marie et rapidement diffusés. Les tirages atteignent plus de 50 000 exemplaires en 1955. Ses écrits sont aujourd’hui connus dans plus de 30 pays du monde et traduits en une dizaine de langues.